Grâce à l’autopilot, elle accouche dans sa Tesla sur la route de l’hôpital 🏥

Nous avions déjà vu les déboires du pilotage automatique des Tesla. Mais avec cette nouvelle, l’autopilot de la firme d’Elon Musk va redorer son blason.  Cette nouvelle, c’est l’histoire de la famille Sherry. De Yiran, la mère qui a accouché dans la Tesla, son mari Keating et leur fils Rafa. Fin 2021, la femme de […]

Autopilot Tesla femme accouche

Nous avions déjà vu les déboires du pilotage automatique des Tesla. Mais avec cette nouvelle, l’autopilot de la firme d’Elon Musk va redorer son blason. 

Cette nouvelle, c’est l’histoire de la famille Sherry. De Yiran, la mère qui a accouché dans la Tesla, son mari Keating et leur fils Rafa. Fin 2021, la femme de 33 ans sentait les premières contractions venir en milieu de nuit. Elle se dit qu’entre la fréquence et la force des contractions, elle avait le temps de voir venir. 

Au petit matin, il faut passer la seconde. Mais Yiran perd les eaux en montant dans la Tesla. Le GPS indique 20 minutes jusqu’à l’hôpital. Mais le délai s’allonge au fur et à mesure avec les embouteillages. Les contractions, au contraire, se font de plus en plus rapides et pressantes.

A quelques encablures de l’hôpital, le travail commence. Et Keating doit choisir entre tenir son volant et soutenir sa femme, avec leur fils Rafa.

Mais la famille Sherry roule en Tesla, et Keating active l’autopilot. Tenant le volant d’une main, condition pour que l’autopilot s’active, et tenant celle de sa femme avec l’autre. 

Enfin, la petite Maeve Lily Sherry est venue au monde sur la pas de la porte de l’hôpital. Les infirmières n’avaient plus qu’à couper le cordon et à mettre la mère et l’enfant au repos. Maeve Lily est dorénavant surnommée bébé Tesla, de par cette aventure !

Un autopilot qui cartonne Outre Atlantique

L’autopilot s’est bien plus rapidement diffusé sur les modèles Tesla commercialisés aux USA, qu’en Europe et en France. Pourquoi, c’est une bonne question, mais nous pouvons sûrement le justifier par rapport à la culture et à la mentalité.

On peut aussi aborder la structure des routes. Alors que les voies publiques américaines sont des avenues et boulevards relativement droits, les routes européennes s’adaptent au terrain. Les faisant serpenter régulièrement. Ce qui pourrait poser le doute de la performance de l’autopilot dans l’esprit des conducteurs du vieux continent. 

Bien que les ventes augmentent d’années en années, le nombre d’autopilot suit de près le nombre de Tesla immatriculées. 

Aujourd’hui, ne sommes-nous pas en droit de suivre l’affaire ? Ne serait-ce que pour savoir si Tesla fera le geste d’offrir un modèle de la gamme, ou un abonnement à l’autopilot à vie. Comme on a pu le voir dans les compagnies aériennes ou ferroviaires. 

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