Autopartage à Lyon : 200 Peugeot e-208 & Toyota Yaris affrétées avec Vulog

L’autopartage est peut être méconnu, mais pour combien de temps encore ? La pratique a en effet le vent en poupe. Car parmi les raisons pour lesquelles les constructeurs peinent à vendre du neuf, on retrouve parfois la non nécessité de posséder un véhicule. Dans les grandes villes notamment. Le fait que l’offre de solutions […]

autopartage peugeot e208 toyota yaris Lyon Leo&go

L’autopartage est peut être méconnu, mais pour combien de temps encore ? La pratique a en effet le vent en poupe. Car parmi les raisons pour lesquelles les constructeurs peinent à vendre du neuf, on retrouve parfois la non nécessité de posséder un véhicule. Dans les grandes villes notamment. Le fait que l’offre de solutions de mobilité comme les transports publics, les transports VTC ou les vélos libres service soit étoffée, rend la voiture personnelle totalement dispensable. 

Pour les villes à taille plus humaine, la problématique est différente. On compte plus sur le véhicule personnel, que l’on peut partager avec autrui. Notamment avec des services comme BlaBlaCar ou Drivy. Ces solutions sont plus utilisées car les réseaux de transports sont moins établis. Et les zones plus complexes à couvrir pour les collectivités. 

L’autopartage tire aussi profit de la grande tendance écologique. Qui nous incite à consommer de manière plus raisonnable. On cible évidemment les transports, qui consomment des énergies généralement fossiles. Et qui émettent quantité de CO². 

L’autopartage, acteur en devenir de la mobilité urbaine

Il devient alors évident que l’autopartage répond de fort belle manière à ces problématiques.

Finies les voitures avec un seul conducteur, et aucun passager.

Finis les embouteillages sans fin et les bruits de klaxon en plein centre ville. 

Bye bye la pollution urbaine pour les locaux et les piétons.

Adieu galères pour se garer et PV pour non respect du stationnement interdit.

Et si l’on creuse encore un peu, on ne paye plus d’assurance à l’année si l’on ne roule pas. On ne se prend plus la tête avec l’entretien. Et ainsi de suite.

C’est pour toutes ces bonnes raisons que la ville de Lyon s’est alliée à Vulog, start up niçoise spécialisée en mobilité urbaine. Au 1er septembre, 200 Toyota Yaris sont donc venues garnir les rangs du dispositif Leo&Go. Leo&Go étant le projet et service d’autopartage lyonnais. 

Cette flotte de véhicules électriques ou hybrides sera donc disponible 24h/24, 7 jours sur 7, et réservable directement par l’application Leo&Go. Comme pour tout service d’autopartage, des zones de récupération et de restitution des véhicules ont été clairement établies. 

Pour le tarif, vous avez le choix. Au forfait, ou à la minute. Tout est fait pour inciter faciliter le passage à l’action des lyonnais. 

Une nouvelle façon de consommer l’automobile.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *