Voiture électrique : Quelle place prend-elle en France ? 🇫🇷

Le constat est clair et sans appel. La voiture Ă©lectrique ne dĂ©chaĂ®ne pas les passions en France. Loin s’en faut. Le niveau d’équipement est très faible. Mais pire encore, la projection des françaises & des français stagne autour de 7% selon une Ă©tude Deloitte. Une Ă©tude inquiĂ©tante, qui contraste fortement avec celle de l’AVERE, une […]

Voiture électrique France

Le constat est clair et sans appel. La voiture électrique ne déchaîne pas les passions en France. Loin s’en faut. Le niveau d’équipement est très faible. Mais pire encore, la projection des françaises & des français stagne autour de 7% selon une étude Deloitte.

Une Ă©tude inquiĂ©tante, qui contraste fortement avec celle de l’AVERE, une association europĂ©enne Ĺ“uvrant pour la mobilitĂ© Ă©lectrique. L’AVERE pointe 34% d’intĂ©rĂŞt chez les français, pour l’électrique. La question demeure sur ce que les deux instituent entendent par intĂ©rĂŞt, tout comme les Ă©chantillons et panels sondĂ©s. Concernant l’association europĂ©enne pour l’électromobilitĂ©, on peut aussi questionner la partialitĂ© de l’étude. Quoi que nous aimerions beaucoup croire Ă  cet enthousiasme. 

Alors que le sujet de la transition Ă©cologique concerne toutes les industrie et fait le cĹ“ur de l’actualitĂ©. A l’heure oĂą le gouvernement propose des primes Ă  la conversion aguichantes, et des bonus malus toujours plus clivants. Les efforts pour mettre la voiture Ă©lectrique en lumière sont nombreux. Mais ils manquent clairement d’efficacitĂ© pour toucher l’opinion publique. Enfin, ils en manquent encore plus quand il s’agit de changer les mentalitĂ©s et les comportements. 

Et malgrĂ© des chiffres encourageants sur les ventes de modèles Ă©lectriques, elles ne constituent pas d’arguments suffisants face aux enjeux climatiques qui nous Ă©crasent. 

Toutefois, nous continuerons, sur le blog de Mesplaques.fr, Ă  en parler !

La voiture électrique à la peine en France, mais séduit à l’étranger

Comme nous vous le disions, 7% des français interrogĂ©s dĂ©clarent avoir un certain intĂ©rĂŞt pour le carburant Ă©lectrique. C’est insuffisant, mais c’est aussi très faible par rapport Ă  d’autres nations du mĂŞme niveau de dĂ©veloppement. 

Notre voisin Outre-Rhin, l’Allemagne, pointe à 15% d’intérêt. Soit plus du double de la population française. Mais ce sont la Chine et la Corée du Sud, respectivement à 17 et 23%, qui marquent un très net temps d’avance.

Les français évoquent 3 freins principaux. Le prix, l’autonomie et la faiblesse du réseau de recharges.

Un frein, moins facile Ă  dĂ©clarer mais que nous connaissons bien, est Ă©galement la rĂ©sistance au changement. En effet, et Ă  raison, nous n’avons pas de recul sur la durĂ©e de vie de ces vĂ©hicules, des batteries, etc … 

Le temps avançant, nous pourrons gagner en certitudes. L’autonomie des véhicules grandira, comme celle de la Mercedes électrique Vision EQXX qui dépasse déjà les 1 000 kilomètres. Mais nous, changerons-nous à temps ?

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